silicone dans les testicules

💣 Australie : Il s’injecte du silicone dans les testicules, ils explosent, …il meurt.

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Il s’injecte du silicone dans les testicules, ils explosent… il meurt. 15 octobre 2018. Histoire de DUMBER peu banale ! Jack Chapman, un homme australien de 28 ans, a eu l’étrange idée de s’injecter du silicone dans les testicules. Il faisait partie d’un club de culturistes qui avait pour particularité de s’injecter du silicone dans les testicules pour les rendre énormes. Depuis quelques années, ce jeune homme avait recours à cette technique particulière pour agrandir la taille de son sexe.

Le comble, c’est Dylan Hafertepen (avec lui sur la photo), son compagnon et également gérant du club, qui l’avait convaincu de transformer ses testicules en véritables balles de baseball. Le problème est que, l’ayant fait, les balles n’ont pas tenu et ont explosé, causant une embolie qui sera mortelle pour Jack, une semaine après son hospitalisation…

Le 6 novembre 2018, Linda Chapman, mère éplorée et sans doute perplexée par les hobbies de son rejeton, partage son désarroi sur le plateau de The Project. Selon elle, Dylan est le véritable architecte de cette fin tragique. Jack, dans son désir désespéré de plaire, était prêt à tout, y compris à transformer son anatomie en champ de mines.

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Elle y explique son incompréhension :

« Quel genre de personne s’injecte du silicone dans les testicules… Quel genre de personne fait ça ? Quelqu’un qui se sent si mal dans sa peau, quelqu’un qui était vulnérable, qui voulait juste votre amour à tout prix… au prix de sa vie ».

Elle a aussi expliqué n’avoir pu voir son fils, ne pas avoir été informée de “l’accident”,

« Je n’ai pas eu l’occasion de lui dire au revoir, il a passé environ une semaine à l’hôpital et personne ne pensait qu’une mère voudrait le savoir ? »

Le gendre aurait-il forcé l’homme à s’injecter du silicone dans les testicules ? Dylan Hafertepen avait alors répondu à sa belle-mère que Jack ne voulait pas qu’elle soit au courant de ses problèmes de santé. Il aurait alors expliqué à Linda que pour la contacter, il fallait que « cela [soit] absolument nécessaire », ce qui n’était pas jugé comme tel, même au vu de cet… accident.

Elle n’a pas non plus hésité à qualifier Dylan de « Maître du bondage » et s’est montrée très sceptique à son sujet. Elle a dit qu’elle pensait qu’il avait influencé son fils à s’injecter du silicone dans les testicules dans un but bien particulier. Des doutes qui ne la quittent plus depuis qu’elle sait que son fils avait légué tout son héritage à son petit-ami. Un héritage qui s’élève à la coquette somme de 200 000 dollars.

Chapman faisait partie de la famille polyamoureuse de chiots soumis de Hafertepen (son compagnon sur les photos), dont beaucoup d’entre eux portaient un tatouage « Propriété du Maître Dylan » et des organes génitaux élargis causés par des injections de silicone, une pratique potentiellement mortelle interdite par les États-Unis. À la mort de Chapman, en octobre 2018, son « contrat d’esclave » soumis avec Hafertepen est apparu en ligne. Le contrat (que Hafertepen a qualifié de “fiction érotique”) indiquait qu’Hafertepen contrôlait totalement le corps de Chapman. Ailleurs sur Tumblr, Jack a déclaré que Dylan déciderait de la quantité de silicone à injecter dans ses organes génitaux.

Lorsqu’interrogé sur l’utilisation de silicone sur Chapman par la télévision nationale australienne, il avait pourtant déclaré, « Je n’ai jamais fait cela pour lui. Je lui ai interdit de faire du silicone. »

Mais les fils de discussions de son Facebook, obtenus par le journal The Stranger, auprès d’un passionné de silicone qui a souhaité rester anonyme, montrent que Hafertepen complimente l’utilisation de silicone. En outre, Hafertepen a déclaré posséder des fournitures pour l’injection de silicone, qu’il s’injectait lui-même et à d’autres, et qu’il encourageait les autres à faire de telles injections en dépit des risques de mortalité.

Parlant des organes génitaux engorgés de silicone de Chapman, Hafertepen a déclaré avec enthousiasme : « Je pense que ça a l’air bien; bien sûr, il veut qu’ils soient beaucoup plus gros. » Et pour ses propres organes génitaux, Hafertepen a écrit :

« Complètement mou ici, [mon pénis est] de la taille d’une canette de soda. Les balles sont comme de gros citrons. »

Hafertepen a admis par la suite qu’un injecteur de silicone nommé Dr. E au Mexique avait injecté du silicone dans ses parties génitales et qu’il s’était injecté, à lui-même et à d’autres, ses propres réserves de silicone personnelles obtenues à partir d’un ancien fournisseur européen connu sous le nom de LeBulge.

Plus tard dans les discussions, Hafertepen mentionne qu’il prend régulièrement ses « chiots » pour des « mises à niveau » (ce qui signifie des injections supplémentaires, afin qu’ils ne perdent pas leur volume).

Ces aveux sont importants pour la justice australienne parce que Hafertepen peut être poursuivi civilement s’il est avéré qu’il a joué un rôle dans la mort de Chapman. La mère de Chapman, Linda, résidant aussi en Australie, a étudié la possibilité de plaider pour la mort de son fils.

Hafertepen n’a pas répondu à la demande de commentaires du journal The Stranger.

Et vous, qu’en pensez-vous ? N’hésitez pas à partager cette histoire pour sensibiliser le plus de monde possible, ou pour en débattre !

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