Un dernier voyage tête première
Il meurt décapité par un pont… assis sur un train… Le 30 octobre 2018, les restes squelettiques de Varcy Locklear, 24 ans, sont trouvés le long des voies ferrées dans le comté de Robeson, en Caroline du Nord. Il a été tué alors qu’il ne voyageait pas DANS le train, mais SUR le train, a confirmé un médecin légiste.
Selon le point de presse local WRAL, Locklear était un passager clandestin dans le train, ce jour fatidique où il a heurté le pont, et est tombé du train pour se retrouver par la suite… dessous.
Il a été décapité à la suite de l’incident. Son corps a été retrouvé le même jour entre des voies de chemin de fer à Enfield, à environ 128 km. Son crâne ne serait retrouvé un peu plus d’un mois plus tard, le 11 décembre par une équipe d’arpentage travaillant près du bloc 1 200 de Heritage Road, où il serait apparemment mort.
Un arrêt inattendu
Les enquêteurs ont déclaré qu’après l’accident, le corps du jeune homme de 24 ans était resté au sommet du train pendant un court laps de temps avant de tomber lorsque la locomotive a traversé une zone de changement de voie. La théorie fut renforcée par des éclaboussures de sang sur le toit.
Ils ont aussi déclaré que Locklear, de Pembroke, était connu de la police comme quelqu’un qui sautait régulièrement dans des trains sans acheter de billet et avait déjà été accusé d’intrusion à plusieurs reprises. Le capitaine de la police d’Enfield, Dreher Bozard, aurait déclaré :
“Il a été inculpé. Je suis déjà allé sur Facebook et j’ai posté une vidéo sur Facebook le montrant debout devant un train et sautant à la dernière seconde avant le dernier arrêt.”
Des fois, l’on se demande ce qui passe par la tête de ces gens. Un pont ? Ok, elle était facile, humour noir 100% assumé. On pourrait dire que Varcy a pris le terme “voyager léger” un peu trop au pied de la lettre, laissant derrière lui tout sauf sa tête. Dumber & dumber, il semblerait qu’il ait pris la voie express pour l’au-delà, sans même avoir besoin de composter son billet.
Tarifs aériens sur rails : Quand l’économie de billet devient le ticket ultime
Au cours des cinquante dernières années, une statistique peu connue mais étonnamment macabre a émergé des profondeurs sombres des archives ferroviaires internationales. Il s’avère qu’un nombre surprenant d’individus a choisi de voyager de manière plutôt non conventionnelle en prenant place non pas à l’intérieur, mais sur le toit des trains. Cette méthode de “voyage économique extrême” a malheureusement conduit à un bilan plutôt sombre.
Cette pratique, souvent appelée “train surfing”, est plus couramment associée à certains pays en développement où la densité de la population et les difficultés économiques poussent parfois les gens à prendre des risques extrêmes pour voyager. En France, comme dans de nombreux pays développés, les mesures de sécurité ferroviaire sont strictes, et les cas de “train surfing” sont extrêmement rares et souvent isolés.
Bien que les chiffres exacts soient aussi insaisissables que les passagers clandestins eux-mêmes, on murmure dans les couloirs sombres des administrations ferroviaires que les aspirants voyageurs aériens, attirés par la brise gratuite et la vue imprenable, ont souvent fini leur périple de manière abrupte, laissant derrière eux une statistique morose qui n’est pas sans rappeler les numéros de loterie – une loterie macabre où le seul prix est un aller simple sans retour. En somme, ces aventuriers du rail, dans leur quête d’économies, ont payé le prix ultime, nous rappelant d’une manière plutôt sinistre que parfois, l’économie peut coûter très cher.
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