Un coup de poing fatal : Quand la vitrine a le dernier mot
Le 15 mai 2019, un drame des plus insolites s’est joué à Cornimont dans les Vosges, devant le paisible kebab “Chez Deniz”. Un homme de 29 ans, manifestement sous l’influence d’une colère inexplicable ou peut-être d’une faim dévorante, a décidé que le menu du soir serait servi avec un zeste de chaos. D’après des témoins, l’homme semblait être “dans un état second”, ce qui, dans le monde des fast-foods, est généralement réservé aux pommes de terre.
La soirée tourne au vinaigre : Entre menaces et nudité
La situation a rapidement dégénéré lorsque, après avoir ciblé le propriétaire et des clients innocents, notre protagoniste a décidé de monter d’un cran dans l’intensité dramatique en se dénudant le torse, peut-être dans une tentative maladroite d’intimidation ou de séduction. “Je vais vous égorger!”, a-t-il crié, un choix de mots probablement inspiré par le menu du kebab, mais appliqué de manière assez littérale. Le propriétaire, confus, a témoigné : “Nous ne savions pas ce qu’il avait sur lui, mais il gardait sans cesse la main dans la poche arrière de son pantalon”. Une déclaration qui, dans un autre contex
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La vitrine, cet adversaire inattendu
La gendarmerie alertée, notre homme en crise a continué son spectacle en réarrangeant le mobilier à sa manière avant d’être évincé du restaurant. Mais refusant de terminer sa performance sur un échec, il a livré un dernier acte en assénant un coup de poing spectaculaire à la vitrine du kebab. Un geste audacieux, qui a transformé la vitrine en un piège mortel, lui entaillant l’avant-bras lorsqu’il a tenté de retirer son poing de ce qui est devenu son tombeau de verre.
La suite est aussi tragique qu’absurde. L’homme, loin de se calmer, a continué de déverser un flot d’insultes tout en se vidant littéralement de son sang, transformant le trottoir devant “Chez Deniz” en une scène digne d’un film d’horreur à petit budget. Les gendarmes, arrivés sur les lieux, ont tenté de lui prodiguer les premiers soins, mais l’homme a perdu connaissance avant même que les secours puissent jouer leur rôle de sauveurs.
Épilogue sanglant : Quand la faim mène à la fin
Cette histoire, aussi macabre qu’elle puisse paraître, nous rappelle avec un humour noir presque coupable que parfois, la ligne entre un repas à emporter et un départ précipité de ce monde peut être aussi fine qu’une vitrine de kebab. L’homme, dans sa quête effrénée de satisfaction immédiate, qu’elle soit alimentaire ou émotionnelle, a finalement trouvé la mort dans un acte de violence gratuite, transformant une soirée qui aurait pu être consacrée à un simple kebab en une tragédie mortelle. Une leçon peut-être, sur les dangers de laisser ses émotions, ou son estomac, prendre le dessus.
Et vous, qu’en pensez-vous ? N’hésitez pas à partager cette histoire pour sensibiliser le plus de monde possible, ou pour en débattre !
Image illustrative